Dieudonné Kweli, animateur des émissions à la radio Mwangaza d’Ariwara, a été agressé par des inconnus la soirée du jeudi 21 novembre courant aux environs de 20 heures locales à Ariwara, en chefferie des Zaki, territoire d’Aru(Ituri).
Un acte vivement condamné par l’Union Nationale de la Presse du Congo (UNPC) sous-section d’Aru.
Dans une déclaration faite ce vendredi 22 novembre 2024, Joseph Guershom Dhata, son président, dénonce cet acte d’agression, accompagné de vol victimisant un professionnel de média.
« […] Nous prenons parole ce jour au nom de l’Union Nationale de la Presse du Congo sous-section d’Aru, pour dénoncer avec la toute dernière énergie l’agression accompagné de vol perpétré sur la personne de notre confrère, Dieudonné Kweli, animateur à la radio Mwangaza d’Ariwara [•••]» a-t-il déclaré dans des propos recueillis par lavoixdelituri.net.
Occasion pour lui d’interpeller les services de sécurité à diligenter des enquêtes sérieuses dans le but de traquer les commanditaires de cet acte d’agression physique.
« C’est pour nous, une occasion d’interpeller les services de sécurité, chacun dans ses attributions à tout faire pour mettre la main sur les auteurs de cette agression pour qu’ils répondent de leurs actes devant la justice » a-t-il lancé.
Par ailleurs, l’UNPC sous-section d’Aru informe l’opinion publique sur le dépôt d’une plainte contre inconnu à la suite de cet incident au commissariat de la police nationale congolaise d’Ariwara.
« […] Nous tenons à informer l’opinion publique qu’une plainte contre inconnu vient d’être déposé au commissariat de la PNC Ariwara en vue d’une enquête pouvant déboucher à l’arrestation des auteurs de cet acte» a-t-il fait entendre.
Joseph Guershom Dhata par la même opportunité, a plaidé pour la sécurisation des professionnels des médias du territoire d’Aru.
Pour votre gouverne, le professionnel des médias, Dieudonné Kweli a reçu deux blessures au niveau de la tête à la suite de cette agression et une somme estimé à 20 dollars américains ou son équivalent lui a été emporté par ces hommes, présumés agresseurs dont leur identité reste encore inconnue.
Patrick Etsea
